Compte rendu de la séance du mercredi 7 février 2024

 

Ce mercredi 7 février la commission « les élus du cœur » s’est réunie pour accueillir Baptiste, directeur de l’association « la Cloche ».

 

Avant que Baptiste arrive, nous avons fait un jeu de brise glace en 3 groupes, qui consistait à tenir une position difficile sans demander d’aide, en revanche, on pouvait en solliciter pour les autres autour de nous. Un joker devait ensuite choisir la personne dont il allait prendre la place.

 

Après l’arrivée de Baptiste nous lui avons posé des questions auxquelles il a répondu du mieux qu’il pouvait :

 

Question 1 : Est-ce que vous seriez prêt à nous aider avec notre festival solidaire ?

Il a répondu qu’il pourrait nous aider à réaliser notre projet et que c’était un projet intéressant.

 

Question 2 : Connaissiez- vous des associations qui pourraient nous aider à mener à bien notre projet ?

Les aides évoquées sont : Le Carillon, La Cloche, le numéro 115, la Soupe Impopulaire, le Festival Gastronomique, Vroum Shower, Emmaüs, La Croix Rouge, Les Restos du cœur ect…

 

Question 3 : Comment arrivez-vous à aider les personnes en situation de précarités ?

La réponse était plutôt complète, Baptiste nous a parlé autan sur le plan moral que sur le plan physique. Il évoque la manière dont il essaye de faire sortir les personnes sans logement fixe de l’isolement social qu’elles subissent et aussi de la maniéré dont il essaye d’accueillir toutes sortes de personnes dans le besoin en leurs permettant d’avoir des fois un repas, d’autres fois un toit temporaire…

 

Question 4 : Comment récoltez-vous un tel budget pour aider les personnes en situation difficile ?

Baptiste nous a dit qu’au départ ce n’était qu’une association de quartier mais que finalement c’est devenu quelque chose de plus sérieux avec le temps. Ils avaient fini par demander une

compensation à l’état pour l’aide qu’ils fournissaient aux plus démunis pour compléter l’aide que l’état fournissait déjà avant.

 

Question 5 : Comment repérer les personnes en situation de précarité ?

Nous avons donc eu droit à une explication sur la manière dont les gens s’isolaient dès le début de leur situation de difficulté ; en cause, la peur d’être jugé. Il explique aussi la manière dont elles s’exhibaient publiquement comme un appel à l’aide désespéré après le passage de la honte.

 

(Nous avons posé d’autres questions du même ordre)

 

Après le départ de Baptiste nous nous sommes remis en groupe de travail pour trouver d’autres associations. Mais seules des aides déjà sitées sont ressorties (hormis peut-être l’Instance Régionale d’Éducation et de Promotion de la Santé).

 

En dernier nous avons un peu parlé à propos de la séance et du bon déroulement de notre première rencontre.

 

Zoé Du collège Georges Brassens à Décines 

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